Si le gouvernement a été cette fois censuré par le parlement, après la censure des urnes en juillet, il n’a pas cessé de dérouler sa politique d’austérité qui dégrade les droits et les rémunérations des agent·es.

Les revendications des agentes et agents de la fonction publique sont restées sans réponse :

- Suppression des jours de carence,
- Maintien de l’indemnisation des jours d’arrêt maladie,
- Maintien de la GIPA,

L’urgence est à des moyens matériels et humains et donc des créations d’emplois pour l’ensemble des services publics, à la revalorisation du point d’indice.

Ce gouvernement a pour seul objectif l’enrichissement d’une caste restreinte d’acteurs économiques néo-libéraux. Quand le droit n’est pas de son côté il le tord (cf la création de l’EPE-UT3). Pour s’enrichir encore il dépèce le service public, notre bien commun, capte les morceaux lucratifs ou nous contraint à payer pour des services autrefois gratuit (cliniques, écoles et universités privées, transport, énergie.…).

Si notre vote a été bafoué, notre autre force à nous toutes et tous, agentes et agents des services publics est notre travail, le cesser où que l’on soit c’est à coup sûr gêner leur enrichissement. Le cesser encore c’est le stopper, c’est revendiquer la conservation l’amélioration de notre service public. C’est rejeter une politique met en danger nos enfants, détruit notre environnement.

Toutes et tous en grève jeudi 12,
CESSEZ DE TRAVAILLER

Rendez-vous devant Thalès
26 Av JF Champollion à Toulouse
(Bus 58 et 85 arrêt Alcatel)