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Travailler au Cnam, la triple peine
Cette faiblesse de l’IFSE se répercute au quotidien sur nos conditions de travail et positionne le Cnam - et nous avec ! - au sein d’un cercle infernal. Parce que l’IFSE est faible, le Cnam peine à recruter et le turn-over est élevé car les collègues quittent le Cnam pour des établissements où les rémunérations sont meilleures. Nos équipes sont donc désorganisées par le turn-over et les postes vacants. Dans ces conditions, faire ce qui dans notre travail a du sens devient difficile ou impossible.
Être au CNAM, c’est être mal payé·e, avoir une charge de travail plus importante et peiner à trouver du sens à son travail.
Des engagements non tenus
Afin de limiter les effets des inégalités entre établissements, la loi prévoit des montants planchers pour l’IFSE à atteindre en 2027. Alors que la loi est en vigueur depuis 9 ans, rien n’a été engagé au Cnam pour se rapprocher de ses seuils. Cette faiblesse de nos rémunérations en plus d’être préjudiciable pour l’établissement et injuste pour les agents, devient tout simplement invivable sous l’effet de l’inflation.
La CGT revendique :
• Une ouverture de négociation sur l’IFSE pour rapprocher cette prime des montants perçus dans les autres établissements
• Une égalité de traitement entre les titulaires et les contractuelsuel·les