"Pour un Service public national d'Enseignement supérieur et de Recherche laïque, démocratique et émancipateur"
Menu ☰Accueil > Syndicats > Auvergne-Rhône-Alpes > Université de Grenoble
Syndicat CGT Université de Grenoble
Pour la titularisation des contractuel·les en place, l’amélioration du règlement de gestion des contractuel·les, la mensualisation et la contractualisation des vacataires, la stabilisation et CDIsation des vacataires « historiques », qui assurent depuis des années des services importants / contre la précarité institutionnelle. Pour encourager le renouvellement des ATER sur leur poste sans recommencer de candidature (augmente la stabilité et reduit les examens de dossiers).
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour la défense de l’emploi statutaire, seul garant de l’égalité de traitement, de la cohésion sociale et de l’égal accès de toutes et tous aux services publics sur l’ensemble du territoire.
Contre les suppressions, gels et « différés » de postes, les baisses d’heures, la sélection à l’université. Contre les externalisations de services ou de missions (nettoyage, accueil, services numériques, etc.).
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour l’augmentation des salaires par une meilleure répartition des richesses, pour des indemnités revalorisées et identiques par corps et grades et leur intégration dans le traitement, pour l’alignement des salaires et déroulements de carrière des agent·es contractuel·les sur ceux des titulaires (grilles indiciaires + primes) / contre toutes les formes de rémunération au ’mérite’ (RIFSEEP, RIPEC C3) qui individualisent les salaires et montent des collègues les un·es contre les autresmobilisation de toutes et tous, pour reprendre en main notre travail collectivement.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour l’égalité salariale et de déroulement de carrière, pour l’évolution des mentalités et le respect / contre les violences sexistes et sexuelles, contre les discriminations.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour la rénovation et la construction de locaux, pour l’augmentation des moyens humains, matériels et financiers / contre les restructurations, les managements nocifs et toute forme de discrimination.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour un respect des limites du temps de travail, une démarche proactive de diminution du temps de travail à 32h/semaine (avec des perspectives positives en matière d’égalité femmes/hommes, de santé et d’écologie).
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour une réelle prise en compte de l’enjeu de l’hyperconnectivité (limiter au maximum le travail dans l’urgence et gagner un véritable droit à la déconnexion). Pour une prise en compte des déplacements entre les divers sites à Grenoble, Saint Martin- d’Hères, Échirolles, Valence et Vienne dans le temps de travail pour toutes et tous (adaptation des horaires et allègements de service pour agents se déplaçant d’un site à l’autre).
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour la transparence et l’équité des procédures de gestion de carrières : notation, recrutements, promotions (objectivité des critères des Lignes Directrices de Gestion).
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour la création massive et le financement public de contrats doctoraux, non fléchés (liberté académique des doctorant·es). Tous·tes les doctorant·es doivent être financé·es, avec un contrat de travail si la thèse est l’emploi principal. Le CSI ne doit pas être utilisé comme outil d’évaluation des doctorant·es : plus d’avis sur la réinscription en thèse, mais soit utilisé comme un véritable outil d’accompagnement et permettant de prévenir toute forme de conflit, de discrimination ou de harcèlement au cours de la thèse. Pour l’abrogation des frais d’inscription au moins pour les doctorant·es (à terme pour tous·tes les étudiant·es).
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour l’accès de droit au télétravail sur la base du volontariat avec les moyens afférents, en conciliant le droit au télétravail et la cohésion des collectifs / contre la surveillance des agent·es par les outils du télétravail, contre la suppression du poste de travail individuel.
Pour le respect de l’obligation des employeurs de garantir notre santé et notre sécurité, pour des moyens accordés à la médecine de prévention, le respect des prérogatives des instances dédiées.
Contre l’organisation pathogène du travail.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour la transparence et l’équité des procédures d’attribution des services et des responsabilités d’enseignement pour tou·tes les enseignant·es / contre la modulation des services des enseignant·es-chercheur·ses.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour la reconnaissance de la formation des enseignants dans leur temps de travail.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour le droit à la recherche pour les enseignant·es-chercheur·ses, qui doivent tou·te·s pouvoir bénéficier périodiquement de CRCT ou mesure équivalente au cours de leur carrière.
Pour les financements récurrents, contre les financements par projet à court terme qui épuisent les équipes dans des appels à projets incessants.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour la rénovation énergétique des bâtiments, la gratuité des transports en commun ou le remboursement à 100% des abonnements de transports par l’UGA / contre la course à la technologie et au numérique sans réflexion sur la pollution qu’elle génère.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour une égalité réelle des droits, une meilleure prise en compte du handicap et adaptation du poste, des moyens pour les personnels et étudiant·es en situation de handicap / contre l’exclusion et la discrimination.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour l’égalité et l’inclusion de toutes et tous, au travail comme dans les études.
Contre toute forme de discrimination : racisme, LGBTQ+-phobies.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Pour la création d’une maison des personnels regroupant les activités du CAESUG et les autres activités étudiant·es.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Nous sommes pour une université publique, ouverte à toutes et tous. Nous refusons la sélection à l’université : les étudiant·e·s doivent pouvoir accéder à la filière de leur choix. Le baccalauréat donne droit à l’accès aux études supérieures. La validation d’une année donne droit à l’accès à l’année suivante.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
Nous refusons toute hausse des frais d’inscription, à l’UGA et dans les établissements composantes ; refus de la hausse des frais d’inscription et de toute discrimination envers les étudiant·e·s étranger·ère·s. Pas de condition de possession de papiers pour l’inscription à l’université.
Dans les conseils, commissions et à la présidence :
La répartition des ressources (financements, contrats doctoraux, ...) doit faire l’objet de discussions collectives, dans les instances dédiées (CAC, conseils de pôles, conseils de composantes). Nous refusons les « passes-droits » présidentiels ou autres. Les instances, leurs membres, et leurs prérogatives, doivent être respectées.
Les agents de l’université, quels que soient leur statut ou leur catégorie, doivent pouvoir participer et agir sur le sens et le contenu de leur travail, à tous les niveaux (composantes, services, directions, pôles, équipes). L’éventuelle organisation hiérarchique doit se plier à ce principe. Les critères d’évaluation doivent être discutés collectivement, et non imposé par des structures non démocratiques, en fonction de ce qui fait sens dans notre travail, du point de vue de nos missions de service public.