Les décisions prises sans concertation et sans débat pour la mise en place du second semestre sont actuellement imposées autoritairement à la communauté universitaire : pas assez de salles ? C’est ce qu’on va voir ! Il faut que cela rentre, quoi qu’il en coûte aux personnels.
Ces mesures dépourvues de toute légitimité rationnelle ni pédagogique ne sont dues qu’aux erreurs d’appréciation et au refus d’agir d’une direction dépassée.
Certains départements ou composantes commencent à réagir face à cette (...)